Le Dernier Chaperon rouge, de Jan Kounen 1996, 26', 35MM, coul., son.
C'est un jardin extraordinaire, un jardin de Perlimpimpim où girolles, bolets, lapins, ronces et libellules chantent et dansent au son d'une musique venue de nulle part... C'est aussi le refuge du Dernier Chaperon Rouge, convoité par une grand-mère sorcière et un méchant loup qui ne veut plus être muselé...
Avec : Emmanuelle Béart, Marc Caro, Gérald Weingand
----> cest ici que ça se passe <----
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Capitaine X, de Jan Kounen 1994, 12', 35MM, coul., son.
Vous êtes otage d'une bande de dégénérés qui cherchent un moyen de s'amuser avec votre misérable carcasse... mais ils ne savent pas qu'ils sont tombés sur un coriace!
----> cest ici que ça se passe <----
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Seul Contre Tous, de Gaspar Noé 1999, 93', 16mm gonflé en 35mm, coul., son.
Premier long métrage du réalisateur argentin Gaspard Noé, ce film complète la sélection de la 37e Semaine internationale de la critique.
Seul contre tous (qui a failli s'appeler Morale, ou Pénis, ou encore Rance) continue et complète le moyen métrage Carne, présenté à la Semaine de la Critique en 1991, sur un sujet scabreux: les aventures amoureuses entre un père (boucher chevalin) et sa fille qu'il a élevée seul après le départ de sa femme.
Dans Seul contre tous, Gaspar Noé donne une suite aux aventures du boucher chevalin de Carne, son moyen métrage remarqué dans les festivals du monde entier. Mais Seul contre tous peut néanmoins s'apprécier indépendamment de Carne. Si au début de Seul contre tous, un bref montage d'images inédites récapitule l'itinéraire du protagoniste, l'action débute dans la banlieue de Lille où le boucher s'est installé chez la mère de sa compagne, bien décidé à "remettre le compteur à zéro" et à commencer une nouvelle vie.
- Prix de la Semaine de la Critique et mention du Prix de la Jeunesse au Festival de Cannes
- Prix de la critique internationale au festival de Sarajevo
- Prix spécial du jury aux Rencontres franco-américaines d'Avignon
- Prix du meilleur acteur au Festival de Namur
- Prix du meilleur scénario au festival de Sitges
- Prix du meilleur premier film et de la meilleure photo au festival de Stockholm
- Prix Très Spécial
- Prix Mercedes-Benz 1998 et Prix du meilleur scénario au Festival de Stiges
« Un saucisson de merde, un pinard de merde et une famille de merde dans un bled de merde, te voilà bien tombé boucher hein, tu parles d'une nouvelle vie »
« Naître malgré soi, bouffer, agiter sa queue, faire naître et mourir. La vie est un grand vide, elle a toujours été et elle le sera toujours. Un grand vide qui pourrait parfaitement se dérouler sans moi »
« Non, "baiser" n'est pas un bon calcul, ça coûte même très cher mais ça fait passer le temps. Et quand le désir de baiser est parti on se rend compte qu'on a plus rien à faire dans ce monde et qu'il n'y a jamais rien eu d'autre dans cette putain de vie. Rien qu'un programme de reproduction inscrit au fond de nos tripes et qu'on se croît obligé de respecter »
« Tu vois pas que maintenant ton bébé n'est plus qu'un steak, un bout de viande éclaté. Au moins, lui, il aura eu la chance de jamais voir ta sale gueule »
Le dossier de presse de Seul Contre Tous, cliquez ici
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La Comtesse de Castiglione, de David Lodge
1998, 13'30'', 35mm
Théâtre surréaliste, inspiré de portraits réalisés en 1855 par les photographe Mayer Frères et Louis Pierson; On retrouve dans ce film l’atmosphère d’Eraserhead de Lynch.
----> cest ici que ça se passe <----
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